samedi 31 janvier 2009

Le destin conduit celui qui consent et tire celui qui résiste (Cléantre )





Selon notre philosophie, l'humanité est en route vers sa perfection






Autrement dit, l'homme ne fait pas ce qu'il veut. Il est destiné à conduire progressivement son espèce vers une perfection déterminée. Il peut avoir l'illusion d'être le maître du destin de l'humanité, mais il s'agit d'une illusion. A l'homme le mirage d'être le maître de son évolution (illusion nécessaire pour inclure la responsabilité et le libre-arbitre, deux notions fondamentales de l'humanité), mais à dieu ou à X l'intention et les véritables rennes de cet attelage ...




De l'inconscience à la conscience :

____________________________


l'humanité ne peut s'élaborer autrement que comme elle s'élabore.




Le sentiment d'être le seul maître à bord, à l'opposé du fatalisme (et d'un certain nihilisme en découlant), est un dopant pour le progrès technique et social du monde.
Mais c'est également la source d 'un orgueil forcené, d'une évolution antagoniste et violente et d'un rationalisme borné à l'origine des pires absurdités (la marchandisation actuelle de l'humanité en est un parfait exemple).
malheureusement, même si le fatalisme semble bien correspondre à la posture la plus logique pour un monde déterminé, il est encore trop peu efficace pour développer le progrès (l'idéal serait alors peut-être une sorte de fatalisme éclairé ... comprendre et accepter la finalité de notre espèce, et s'y conformer avec vitalité)
Évidemment, cette suffisance occidentale obéit à une logique (même si celle-ci ne nous saute pas aux yeux).


Par exemple, s'imaginant les maîtres du monde, sans avoir de comptes à rendre à aucune instance divine, le marché actuel agit globalement avec un minimum de foi et de loi. Enquis d'une faible moralité et pour multiplier ses marges bénéficiaires proprement honteuse, il participe et entretient la mise en esclavage des pauvres dans les pays émergents. Cette attitude sourde et forcenée du marché, fait effectivement courir un danger à l'humanité toute entière, maltraite une quantité considérable d'êtres humains et génère de graves problèmes qu'auront à résoudre nos descendants.


Mais l'humanité retire également sa substance du « négatif ». Et les excès irresponsables, enfantent et fédèrent des forces d'opposition universelles qui sans cela ne se seraient jamais constituées (des organisations comme l'ONU, l'Unesco, et aujourd'hui des mouvements comme Attac et l'alter mondialisme ont été constitué pour parer au pire).



A sa façon, la surdité du marché contribue donc à l'universalisation de l'humanité. Elle force les humains des différentes communautés à se réunir, à tisser des liens et des amitiés pour s'y opposer. Elle motive les réflexions pour y trouver des alternatives.





Le côté paradoxal de la liberté:
_______________________


La liberté est dans l'inaction mais seule l'action peut construire la liberté.



l'homme constructeur, l'homme commun, n'accède pas à la liberté absolue, il atteint seulement ses multiples apparences (liberté d'agir sans contrainte, liberté de pensée, absence de servitude, etc.).
En se pensant libre d'agir et de créer comme il l'entend, l'individu s'éloigne de la liberté authentique.
La véritable liberté humaine à ceci de paradoxal, qu'il faut, pour y accéder, renoncer définitivement à toute libertés telle que l'homme constructeur les conçoit. nécessité de renoncer à toutes velléités d'autonomie, a toutes pulsions égocentriques et à l'ensemble des attachements pour accéder au très rare statut d'homme libre.

Seul le saint, l'extatique, le sage, le béat, parviennent à cet état.


En incarnant la nature intime du principe créateur, en devenant une créature pleine d'amour et uniquement cela, en devenant l'âme de Dieu, en personnifiant Dieu sur terre, l'homme atteint alors la pleine liberté l'humain accompli).
l'homme constructeur lui, élabore peu à peu et sans le savoir, le futur espace ou pourra s'épanouir l'humanité sage, l'humanité accomplie et la liberté totale.


Pour cela, il doit bâtir, juger, démolir, exécuter, réfléchir, bref s'activer, dans l'illusion de la liberté. Il accède lui aussi à des libertés (droits de l'homme, liberté de la femme, liberté sexuelle, liberté de la presse etc.), il les recherche, se bat pour elles, les fait constamment évoluer dans l'humanité, mais il veut s'agit pas de la liberté absolue humaine.


Nous sommes dans un système inversement proportionnel :
Plus l'homme s'éloigne de la contemplation, du fatalisme, de la spiritualité, plus il accède aux libertés du libéralisme, plus il a d'énergie pour construire le monde, mais plus il s'éloigne de la liberté véritable, de la liberté absolue. au contraire, plus l'homme se rapproche de la contemplation, de l'extase, de l'amour absolu, moins il agit dans le monde et plus il se rapproche de la liberté véritable. Durant le temps de la construction de l'humanité, l'homme préfére les libertéS humaines et leurs illusions, à la liberté absolue.


En résumé, seul l'état de nirvana de béatitude, de détachement complet, l'obéissance totale à l'exigence suprême du principe créateur (aimer de façon absolue), permet d'être libre dans ce monde déterminé



En résumé , le monde doit prendre en compte "l'Homme" , les valeurs humains , afin que chacun se sente être , et se sente épanoui , pour un monde meilleur ou chacun est considéré et non écrasé ou étouffé : changer ses façons de penser pour changer vers le "juste" virage qui fera prospérer son monde vers le meilleur pour lui , afin de comprendre la vraie Liberté qui conduira notre monde vers son meilleur choix de survie .





L'énergie de l'amour pour le devenir de l'Homme :
________________________________________



= " que votre chemin de vie soit un chemin d'amour , où que vous soyez" ( Noël 2008 devant St Jacques de Compostelle )


= " et Dieu dit : je ne serai plus ici , ne viens plus ici , je suis parmi les hommes , descends vers eux "



L'amour est en eux , l'énergie de l'amour est cachée en eux , leur devenir est en chacun d'entre eux , mais ils ne le savent pas encore ...






Année 2009 , la Conscience vers le retour aux valeurs humaines pour toucher du doigt la liberté d'avancer vers un chemin de VIE ......est en route

jeudi 29 janvier 2009

Arbre sacré : Ménorah et arbre de vie (2)

La Ménorah







Sources : Wikipedia




La ménorah (hébreu : מְּנוֹרָה) est le chandelier (ou candélabre, autre acception conventionnelle) à sept branches des Hébreux, dont la construction fut prescrite en Exode 31 à 40 pour devenir un des outils du Tabernacle et plus tard du Temple de Jérusalem. Ce mot « Ménorah » provient du préfixe « Mé » indiquant la provenance d'une chose, associé à la racine hébraïque Norah, Nourah, de Nour, Nor (flamme) au féminin. MéNoRah signifie donc « de la Flamme », « qui provient de la Flamme » ; cette flamme, selon la Kabbale, n'est autre que la Schékhinah ou présence de Dieu.
Sa forme originelle en Y fut dessinée par Maïmonide dans l'un de ses traité midrashiques : trois branches droites à l'est, trois à l'ouest et une au centre. Cette forme en Y, selon la Kabbale, devait rappeler les Sept branches du delta du Nil ; et son huile sainte, les eaux sacrées du Nil qui ne devaient jamais manquer.
Selon Zacharie, ces sept lampes sont les yeux de Dieu qui veillent sur toute la Terre. Toujours selon Zacharie, le chandelier à sept branches est encadré de deux oliviers qui fournissent l’huile aux lampes.
Mais le chandelier à sept branches est aussi un équivalent, et un héritier, de l’« arbre babylonien de la lumière ». Certains se demandent aussi si la Menorah ne dérive pas d’un antique « arbre sacré », ce qui expliquerait sa forme arrondie dans le Temple détruit par Titus. Contrairement à la forme plus fréquente de la Ménorah, la tradition juive (Maïmonide dans son célèbre dessin et Rachi dans son commentaire à Exode 25, 32) suggère plutôt une forme selon laquelle les six branches seraient des diagonales droites.
Flavius Josèphe écrit : « On lui a donné autant de branches qu’on compte de planètes avec le soleil ». C’est une « imitation de la sphère céleste archétype » selon Philon.
À la suite de Clément d'Alexandrie, les chrétiens considèrent le chandelier à sept branches comme un équivalent de la croix du Christ.



Découverte d'une mosaïque dont les motifs dessinent 12 chandeliers à 7 branches





MISE À JOUR D'UN MONUMENT SACRÉ DU JUDAÏSME À KELIBIA/TUNISIETUNIS, 19 juil 2007 (AFP)


"Une mosaïque évoquant un lieu sacré du judaïsme remontant à la fin de l'antiquité, a été mise au jour à Kélibia, ville de Tunisie, a-t-on appris jeudi à l'Institut national du Patrimoine (INP).Ces vestiges, sans doute une synagogue antique, "en tout cas un lieu sacré", ont été découverts lors de travaux de voirie menés au pied de la forteresse surplombant le port de Kélibia, à 110 km au sud de Tunis, sur le littoral nord-est de la Méditerranée.





Cette découverte a été présentée par l’archéologue Mounir Fantar lors d’une journée scientifique à l’INP, qui en a fait état dans son dernier bulletin interne.


Il s'agirait d'une première, les vestiges constituant la première preuve d'une présence antique du judaïsme dans cette région du Cap Bon. La représentation de chandeliers à sept branches, symboles du judaïsme, ne laisse aucun doute sur la présence d'un lieu sacré juif. Le monument, daté a priori du 5e siècle avant JC, est constitué d'une mosaïque "en parfaite conservation" et dont les motifs dessinent douze chandeliers à sept branches. Cette oeuvre célèbre l'accomplissement du voeu d'un mécène du nom d'Ivdantis (Judas). (NLE)"


Reste à savoir ce qu'on va maintenant faire de cette mosaïque? Va-t-en l'emmener au Musée du Bardo pour enrichir la collection déjà présente, où va-t-en la laisser sur place?

AUTREFOIS
Le Chandelier du Temple


Le chandelier à 7 branches , le chandelier de Jérusalem ...


Un chandelier (Menorah) a été fabriqué selon les directives divines transmises par Moïse, pour meubler et éclairer du soir au matin le sanctuaire érigé dans le désert. (Exode 25, 31 40).
Ce chandelier a été déposé ultérieurement dans le Temple édifié par Salomon (Le Temple de jérusalem ) , qui y a ajouté dix autres chandeliers, cinq à droite et cinq à gauche de l'ancienne Menorah ( Rois I. 49).Le deuxième Temple n'était éclairé que par un seul chandelier qui fut brisé par Antiochus Epiphane (I Maccabées, 1, 22).Juda Maccabi le rétablit après sa victoire sur les Syriens (I Maccabées, 4. 49).
Pompée, d'après le témoignage de Flavius Josèphe (Antiquités XIV, 4, 4), a vu le chandelier au Temple. Selon le même auteur, il se trouvait encore au Temple édifié par Hérode (Guerre IV, .5.). Il fut emmené à Rome après la destruction du Temple par Titus. En l'an 70, et se trouve figuré sur l'Arc de Triomphe qui fut érigé à Rome pour commémorer la défaite juive.





AUJOURD'HUI
L'antique Menorah a disparu. L'antique cérémonie du Temple n'est plus qu'un souvenir. Cependant la lumière continue encore à jouer un grand rôle dans la tradition juive.

.....Les lumières chabbatiques....
Tous les vendredis soirs ainsi que les veilles de fêtes, c'est un devoir pour la maîtresse de maison (ou à son défaut, pour tout autre membre de la famille) d'allumer au moins deux lumières .Cet allumage, qui s'ajoute à l'éclairage normal, a pour but de créer une ambiance solennelle et d'augmenter la joie qui doit régner dans la maison les Chabatth et jours de fêtes.


....Les lumières de 'Hanoucca....
Depuis l'an 165 avant l'ère vulgaire, depuis la victoire de Juda Maccabi, la victoire de la Torah sur l'hellénisme les Juifs illuminent leurs maisons pendant 8 jours à partir du soir du 25 Kislev (cette année, le 30 novembre 2002).
On allume une lumière le premier soir à la droite de la Menorah, le chandelier spécial à huit branches, ou huit becs. On ajoute ensuite chaque soir une lumière nouvelle à la gauche de la précédente que l'on allume en premier, avant de continuer vers la droite.
II est souhaitable que tous les membres de la famille allument leur chandelier. Cependant le devoir religieux est accompli par l'allumage d'une seule Menorah le chandelier est disposé près de la fenêtre dans tous les cas où une telle illumination est visible de l'extérieur, sinon sur la table ou sur tout meuble approprié



Curiosités à propos de la lumière et de la Ménorah
Les Perses considéraient que la lumière provenait d'un dieu et l'obscurité d'un autre dieu. C'est pour s'opposer à cette croyance que nous louons tous les matins " l'Eternel qui a créé à la fois lumière et obscurité".
La lumière est le symbole de la joie. Preuve: après la mort de Haman " les Juifs eurent de la lumière, de la joie et de l'allégresse" (Esther 8, 76).
Editer, se dit en hébreu " sortir à la lumière".
Le chandelier fabriqué dans le désert avait 7 branches qui correspondent aux 7 mots composant le premier verset du livre de la Genèse.II comportait 11 boutons, correspondant aux 11 mots composant le premier verset du livre de l'Exode. II comportait 9 fleurs, correspondant aux 9 mots composant le premier verset du livre du Lévitique.II avait en réalité une hauteur de 17 coudées (la 18ème coudée n'était pas complète) correspondant aux 17 mots composant le premier verset du livre des Nombres.II comportait 22 calices correspondant aux 22 mots composant le premier verset du livre du Deutéronome.
Les élèves du Rabbane Yohanan ben Zacaï appelaient leur maïtre: " lumière en Israel". C'est le roi David qui, le premier, a porté ce qualificatif (II Samuel, 18, 3).

Arbre sacré : Ménorah et arbre de vie (1)


La Ménorah

La Ménorah est le chandelier à sept branches des hébreux. C’est l’un des plus anciens symboles juifs que l’on retrouve représenté sur des pierres, des mosaïques, des pièces et des cercueils de pierre.

Parmi les objets ramenés du Second Temple, on retrouve la ménorah gravée dans le bas-relief de l’Arc de Titus, bien que certains spécialistes remettent en question l’exactitude de cette représentation. A l’extérieur de la Knesset, le parlement israélien, on peut admirer une grande ménorah en bronze sculptée par Benno Elkan qui remémore les principaux événements de l’histoire juive.

La forme originelle du chandelier est en Y avec trois branches à droite, trois à gauche et une au centre, ce qui rappelle nettement l’image d’une plante. La Torah décrit même la ménorah avec des termes botaniques : tiges, branches, fleurs, calices, coupes en forme d’amande. C’est ainsi que certains spécialistes pensent que la plante parfumée israélienne du nom de Moriah (salvia palaestinae – espèce de sauge) peut avoir été le modèle botanique qui a inspiré la forme du chandelier. La ménorah représente finalement un genre d’arbre – peut-être est-elle à l’origine du symbole de l’arbre de vie.

Les cohanim (prêtres hébreux chargés des sacrifices et des sacrements du Temple) allumaient la ménorah chaque soir dans le Sanctuaire. Tous les matins, ils étaient chargés de la nettoyer et d’entretenir les mèches ainsi que de remettre de l’huile d’olive. Selon la tradition, la forme de la ménorah a été prescrite à Moïse par Dieu. Les directives sont décrites avec précision dans l’Exode 25:31-37 :



«Tu feras un candélabre d'or pur ; le candélabre, sa base et son fût seront repoussés ; ses calices, boutons et fleurs feront corps avec lui. Six branches s'en détacheront sur les côtés : trois branches du candélabre d'un côté, trois branches du candélabre de l'autre côté. La première branche portera trois calices en forme de fleur d'amandier, avec bouton et fleur ; la deuxième branche portera aussi trois calices en forme de fleur d'amandier, avec bouton et fleur ; il en sera ainsi pour les six branches partant du candélabre. Le candélabre lui-même portera quatre calices en forme de fleur d'amandier, avec bouton et fleur : un bouton sous les deux premières branches partant du candélabre, un bouton sous les deux branches suivantes et un bouton sous les deux dernières branches - donc aux six branches se détachant du candélabre. Les boutons et les branches feront corps avec le candélabre et le tout sera fait d'un bloc d'or pur repoussé. Puis tu feras ses sept lampes. On montera les lampes de telle sorte qu'elles éclairent en avant de lui.»


Les sept branches et les trois pieds où les branches rejoignent l’axe central de la ménorah représentent les dix sephiroth (forces de la volonté Divine) de l’Arbre de Vie de la Kabbale. L’axe central correspond au Pilier central de l’Equilibre (sephiroth 1, 6, 9 et 10), les branches à gauche représentent le Pilier de la Force (sephiroth 3, 5 et 8) et les branches à droite correspondent au Pilier de la Miséricorde (sephiroth 2, 4 et 7).


La signification et les chiffres des dix sephiroth sont cités ci-dessous. Le nom le plus courant pour chaque sephira est donné en premier, les appellations suivantes sont des variantes.


1. Kether (la Couronne) ou Kether Elyon (la Couronne Suprême)

2. Hokhmah (la Sagesse)

3. Binah (la Compréhension ou l’Intelligence)

4. Hessed (la Miséricorde ou la Grâce) ou Guedoulah (la Majesté)

5. Guebourah (la Force ou le Pouvoir), Din (le Jugement) ou Pahad (la Peur)

6. Tifereth (la Beauté) ou Rahamim (la Charité)

7. Netzach (la Victoire ou la Stabilité)

8. Hod (la Gloire ou la Splendeur)

9. Yessod (la Fondation) ou Tsedek (la Justice)

10. Malkuth (le Royaume) ou Shekhinah (la Présence Divine)


La ménorah était le seul élément de la synagogue qui était fait d’or massif (100 livres selon Flavius Josèphe) – le reste des objets était en bois plaqué or. L’or pur du chandelier apporte une dimension supplémentaire à l’expression de la lumière divine que la ménorah représente. Et c’est cette lumière de la ménorah qui donne un caractère sacré à l’endroit. Cette symbolique de la lumière est d’ailleurs présente dans de nombreuses synagogues : une lumière suspendue devant l’arche de la Torah brille sans interruption («Ner Tamid»).


La lumière était le premier élément dans la Création. C’est la lumière en premier qui a transformé le chaos en ordre cosmique. La lumière évoque à la fois la vie et la présence divine. Le Psaume 104:2 décrit Dieu comme étant «enveloppé de lumière comme d’un manteau». La lumière a toujours été associée à la paix.


Le philosophe et théologien juif connu sous le nom de Philon d’Alexandrie ou Philon le Juif (vers l’an 15 avant l’ère chrétienne – 45 de notre ère) fit un rapprochement entre les sept planètes de la sphère céleste et les sept branches de la ménorah. Pour lui, le chandelier était alors l’image du ciel et de son système planétaire au centre duquel brille le soleil. Les sept branches du chandelier peuvent être aussi considérées comme correspondant aux sept jours de la Création.


La ménorah fut adoptée comme emblème officiel de l’état d’Israël en 1949. Elle est représentée également sur le drapeau du président. Il arrive de voir des chandeliers avec un nombre de branches différent. Le plus courant est le chandelier à neuf branches que l’on allume lors de la fête juive de Hanouka (la fête des Lumières)

mercredi 28 janvier 2009

Dieu est l'énergie de l'Amour caché en chacun de nous

Une légende raconte commeCouleur du textent, au début des temps, Dieu a décidé de se cacher au sein de sa propre création. Couleur du texteA legend tells how, at the beginning of time, God decided to hide within his own creation :



As God was wondering how best to do this, the angels gathered round him.

Comme Dieu est la meilleure manière de se demander pour ce faire, les anges se réunissaient autour de lui.

'I want to hide myself in my creation,' he told them.

«Je veux me cacher dans ma création", a -t-il dit.

'I need to find a place that is not too easily discovered, for it is in their search for me that my creatures will grow in spirit and understanding.

«J'ai besoin de trouver un endroit qui n'est pas trop facile à découvrir, car c'est dans leur recherche pour moi que mes créatures se multiplieront dans l'esprit et de compréhension.

'Why don't you hide yourself deep in their earth?'

«Pourquoi ne pas vous cacher au fond de leur terre?"

the first angel suggested. le premier ange suggéré. God pondered for a while, then replied, 'No. Dieu réfléchit pendant un moment, puis répondit: "Non

It will not be long before they learn how to mine the earth and discover all the treasures that it contains.

Il ne faudra pas longtemps avant de savoir comment les mines de la terre et de découvrir tous les trésors qu'elle contient.

They will discover me too quickly, and they will not have had enough time to do their growing.' Ils vont me découvrir trop rapidement, et ils n'auront pas eu suffisamment de temps pour faire de leur croissance. "

'Why don't you hide yourself on their moon?'

«Pourquoi ne pas vous cachez sur leur lune?"

a second angel suggested. un second ange suggéré. God thought about this idea for a while, and then replied, 'No.

Dieu a pensé à cette idée pendant un moment, puis répondit: "Non

It will take a little longer, but before long they will learn how to fly through space.

Il faudra un peu plus longtemps, mais dans peu de temps, ils apprendront à voler dans l'espace. They will arrive on the moon and explore it's secrets, and they will discover me too soon, before they have had enough time to do heir growing.'

Ils arriveront sur la lune et exploreront les secrets, et ils me découvriront trop tôt, avant qu'ils aient eu suffisamment de temps pour faire l'héritier de plus en plus ".

The angels were at a loss to know what hiding places to suggest.

Les anges ne savent plus suggérer quel endroit où se cacher .

There was a long silence.

Il y a eu un long silence.

'I know,' piped up one angel, finally.

«Je sais», a renchéri finalement un ange.

'Why don't you hide yourself within their own hearts?

«Pourquoi ne pas vous cacher à l'intérieur de leur coeur?

They will never think of looking there!'

Ils ne penseront jamais de regarder là-bas! "

'That's it!'

" Voilà !"

said God, delighted to have found the perfect hiding place.

dit Dieu, heureux d'avoir trouvé le parfait refuge.

And so it is that God hides secretly deep within the heart of every one of God's creatures, until that creature has grown enough in spirit and in understanding to risk the great journey into the secret core of it's own being.

C'est ainsi que Dieu se cacha secrètement et profondément dans le cœur de chacun d'entre les créatures de Dieu, jusqu'à ce que la créature ait progressé suffisamment dans l'esprit et dans la compréhension et se risquer pour le grand voyage dans le secret de base de son propre être.

And there, the creature discovers it's creator, and is rejoined to God for all eternity.

Et là, la créature découvre que le créateur Est , et il/elle est rejoint à Dieu pour toute l'éternité.


(from 'one hundred Wisdom Stories from around the world' by Margaret Silf)

(de «une sagesse cent histoires du monde entier" de Margaret Silf)


God is the love's energy hidden deep in the core of each one of us.

Dieu est l'énergie de l'amour profond caché dans le cœur de chacun de nous